Betteravier de l'annnée
Prix spécial du jury

Luc LORIN

Prénom nom : Luc LORIN

Commune : DIgny

Surface betteravière : 15 ha

Sucrerie de rattachement : Artenay

L’avenir de la betterave vu par Luc

« Pour que la culture de betterave reste rentable sur le long terme, il sera nécessaire de baisser le coup des intrants, et pourquoi pas de la fertilisation en remettant en cause des pratiques qui existent depuis plusieurs années. »

Les choix techniques du candidat pour optimiser l'implantation de sa culture :

  1. J’ai introduit la betterave dans mon exploitation l’an dernier. Je suis parti dans cette aventure car je suis confiant en l’avenir. Mes motivations ?
    1. Ayant des problèmes de désherbage, j’ai besoin de nouvelles cultures de printemps (betterave, lin et pois).
    2. Etant un passionné des nouvelles technologies, je pense pouvoir transposer sur betterave l’expérience que j’ai acquise en céréales et ainsi la rendre la plus productive possible.
  2. Comment j’aborde la productivité betteravière ?
    1. Pour que la culture de betterave soit rentable, il faudra baisser le coût des phytos et de la fertilisation, en remettant en cause certaines pratiques existantes.
    2. Pour que la culture de betterave soit rentable, il faudra baisser le coût des phytos et de la fertilisation, en remettant en cause certaines pratiques existantes.
    3. Je suis en train de transférer cette méthodologie sur betterave. Ça prendra un peu de temps mais les 1ers résultats sont encourageants puisque la modélisation stade et cercosporiose fonctionne. Et pourquoi pas un jour contribuer, avec ma technologie, à mieux prévoir les volumes de récolte ?